Dérangée [PV le premier qui passe]

La nuit était tombée sur le monde des Sorciers, une nuit claire gràçe à la pleine lune qui éclairait de façon quasi-identique au soleil la terre et ses habitants, au point que l' ont pouvait se crorie en pleine journée. La chaleur était agréable, normale en cette nuit d' été, et les nuits étaient plus courtes, ce qui faisait le bonheur des gardes de nuit. Eux veillaient pendant que tout les autres dormaient. Tout les autres? Non, il y avait bien une salle encore éclairée par autres choses que les torches des soldats, une salle d' où émanait une petite, dicrète et pourtant très voyante lumière, celle d' une bougie.

La dite bougie était posée là, sur le sol, devant un cousin avec sur celui-çi une femme. Elle était d' âge mur, des fines rides commencaient à se dessiner sur son visage si alme. Les yeux fermées, assise en tailleur, les mains jointes au niveau du coeur, Robyn, car c' était son nom, était en pleine méditation. Une méditation si profonde que cela faisait déjà 2 heures qu' elle y était. Durant ses deux heures, elle n' avait ni bouger, ni parler, et pour peu, on aurait l' impréssion qu' elle n' aurait pas respirer non plus.

La méditation était un art que l' ont ne pouvait maitriser qu' après de maintes années d'exercice, mais au final, on arrivait à appaiser le corps et l' esprit, à communier avec la nature et les animaux et, pour un raison plus domestique, à évacuer le stress accumullé durant la journée.

A première vu, on aurait put croire que la sorcière était seule, et bien non. Non loin, posé sur l' accoudoir d' un fauteil, se tenait un corbeau au plumage si noir qu' on aurait put le confondre avec l' obscurité derrièrelui. Cet oiseau était posée depuis deu heres sur cet accoudoir, aussi immobile que sa maitresse. La patience était l' une des qualités de l' animal qui accompagnait Robyn, et cette patience était grande.

Les minutes continuèrent à s' écouler, deveant des heures. Et les deux êtres présent dans la pièce ne bougeait toujours pas. Le seul bruit provenait du son caractéristique des criquets, au dehors, qui parvenait par les grandes arcades.